L’homme qui n’aimait pas les femmes, ni les noirs, ni les arabes, ni…, ni… | quartiers libres
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L’homme qui n’aimait pas les femmes, ni les noirs, ni les arabes, ni…, ni… | quartiers libres
Eric Zemmour a un problème.
Un problème de taille.
Il est petit, il est vilain. Il est obsessionnel. Il n’a pas de talent.
Mais on peut être un gars petit, vilain, sans talent et obsessionnel, et emballer quand même.
Pas lui.
Un jour, Zemmour, du haut de sa petitesse a voulu comprendre pourquoi on ne l’aimait pas. Et il a trouvé : L’enfer, c’est les autres. Surtout les femmes, les arabes et les noirs et les femmes qui couchent avec des arabes et des noirs et pas avec lui.
Depuis, Zemmour est méchant, avec application. Mais toujours sans talent.
Alors, quand Zemmour lit l’essai d’Aymeric Patricot « Petits blancs » il tient là sa démonstration et nous livre illico son analyse dans les colonnes du Figaro du 4 décembre : « [Les] jeunes prolétaires blancs […] éduqués dans l’univers du féminisme occidental, ne peuvent rivaliser avec la virilité ostentatoire de leurs concurrents noirs ou arabes, qui séduisent nombre de jeunes femmes blanches, blondes de préférence, comme le prouve le succès du site blanchablacks.com »
Mais Zemmour n’est pas un jeune prolétaire blanc et il s’en réjouit. Tout juste petit. Et blanc.
Et les femmes « blondes de préférence » sont justes assez dindes pour se faire empaler (pardon : emballer) par des étalons issus « de l’immigration arabo-africaine ».
Zemmour est le Pascal Sevran* de l’élite parisienne de droite.
Zemmour n’a pas de convictions, il a des complexes.
* Pascal Sevran, dans son livre "Le privilège des jonquilles" paru en 2006, avait écrit : "La bite des noirs est responsable de la famine en Afrique".